lundi 17 juin 2013

Je ne souffre pas (encore) de bigorexie.

Et vous, en souffrez-vous !?
Qu'est-ce que la bigorexie ? Inspiré par divers articles sur le sujet, voilà ce que j'en ai retenu.
La course à pied favorise la sécrétion d'endorphine qui déclenche une sorte d'euphorie chez le coureur. On peut ainsi devenir complètement accroc, courir des dizaines d'heures par semaine et souffrir de bigorexie. La bigorexie, maladie reconnue par l'OMS, est donc une addiction qui concerne les personnes devenues dépendantes d'une pratique excessive du sport.

J'aime le PLAISIR procurer par le running mais je pense que ma quête de ce « plaisir » ne me conduit pas encore à une véritable compulsion.
La vie quotidienne d'une personne atteinte de bigorexie est entièrement organisée autour du sport pouvant provoquer des problèmes familiaux et professionnels. Pratiquer son sport devient une obsession qui prend toute la place dans la vie quotidienne... Bon, j'en suis pas encore là. Madame me supporte toujours et mon patron aussi !
Les personnes les plus concernées sont celles qui font du culturisme et de l'endurance. Pour le culturisme, exceptée ma bouée abdominale travaillée à la bibine, je ne pratique pas de trop. L'endurance par contre... J'ai donc intérêt à rester sur mes gardes !
Il existe bien entendu de nombreux risques liés à cette maladie tels que les déchirures musculaires, les atteintes tendineuses, les fractures osseuses, l'infarctus ... Réjouissant programme !
Pour ne pas sombrer dans la bigorexie, il est conseillé de diversifier ses activités sportives et de pratiquer le sport moins isolément mais avec d'autres personnes. Le sport doit devenir un vrai plaisir et non une contrainte. Eh bien ça va alors, les risques sont minimes pour moi !!

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